Date:
28 Nov 2022
Auteur:
PREO AG
Logiciels d'occasion
Les logiciels d'occasion ouvrent de nouvelles possibilités d'action
Le développement en perspective de la fonctionnalité IT est désormais l'un des principaux objectifs des responsables IT ou SAM dans les entreprises et devient de plus en plus le centre de l'action quotidienne. Une haute disponibilité et une maintenance efficace sont depuis longtemps considérées comme acquises. Lors de l'intégration fonctionnelle d'une multitude de thèmes et de solutions logicielles, tant d'aspects sont désormais imbriqués les uns dans les autres, de telle sorte que l'optimisation des coûts est devenue un défi aussi important que complexe.
Afin de dégager une marge de manœuvre pour de nouveaux projets orientés vers l'avenir, il est donc crucial d'organiser les structures de dépenses de la manière la plus efficace possible. Que ce soit par le passage à des offres de cloud ou de location comme Microsoft 365 ou dans le cadre de mesures de restructuration, de réorganisations, de fusions ou de fermetures d'entreprises ainsi que d'éventuelles faillites, il existe toute une série de raisons pour lesquelles les licences logicielles une fois acquises ne sont plus utilisées. Dans ce blog, vous trouverez des informations sur la manière de monétiser ces valeurs non utilisées, qui peuvent représenter des volumes financiers à six chiffres, même pour les entreprises de taille moyenne.
Le quatrième trimestre est idéal pour l'audit des stocks de licences logicielles
Presque tous les responsables de budget connaissent cette situation. Les économies réalisées une année entraînent une baisse du budget l'année suivante. Il en va de même dans le domaine informatique. C'est pourquoi les managers SA devraient profiter du quatrième trimestre pour vérifier les stocks de licences actuels. Ce n'est qu'alors qu'il est possible d'utiliser intelligemment les ressources budgétaires disponibles. En effet, les licences logicielles inutiles ou beaucoup trop chères signifient en fin de compte que l'on gaspille de l'argent. En examinant le stock de licences d'une entreprise, il y a toute une série de questions qui peuvent conduire à des optimisations sensibles :
- Avons-nous toutes les licences dont nous avons besoin pour les différents domaines de travail ?
- Y a-t-il des licences en stock pour lesquelles le support externe a expiré, par exemple MS Office 2007 et 2010, Exchange ou Visio ?
- Y a-t-il des licences en stock pour lesquelles le support externe expirera dans les 12 prochains mois, par exemple MS Office 2013, Exchange Server 2013 ou Windows Server 2012/2012 R2 ?
- Notre portefeuille de licences passerait-il un audit du fabricant ?
- Y a-t-il des licences excédentaires que nous devrions vendre ?
- Pourrions-nous remplacer les nouvelles acquisitions à venir par l'achat de licences logicielles d'occasion ?
Conseil PREO : Implémenter des licences logicielles d'occasion dans le cadre de la stratégie informatique
Si le contrôle révèle une sous-licence, il vaut généralement la peine d'investir le budget disponible dans des licences logicielles d'occasion. En effet, celles-ci sont jusqu'à 70 % moins chères que les produits neufs pour les mêmes fonctionnalités, car contrairement à la plupart des biens de consommation, les logiciels ne vieillissent pas. De plus, l'achat de logiciels d'occasion n'entraîne pas de frais mensuels courants pour l'utilisation du logiciel, ce qui vous permet d'économiser de l'argent dans les années à venir.
Vendre les licences logicielles superflues - comment augmenter votre budget
Annuler les nouveaux approvisionnements prévus est une manière d'optimiser le budget informatique. Autre alternative : Monétiser ce qui a déjà été fait dans le passé. Cela ne vaut pas seulement pour le matériel informatique comme les ordinateurs portables ou les imprimantes, mais aussi pour les systèmes d'exploitation et les logiciels d'application comme Microsoft Windows ou MS Office ainsi que les licences pour les serveurs SQL, Exchange ou Sharepoint. Dans ce contexte, il est important de veiller à ces quatre exigences :
- Les licences qui ne sont plus nécessaires ont été mises sur le marché pour la première fois dans l'UE ou l'EEE. Dans l'UE, le principe dit d'épuisement s'applique aux licences logicielles d'occasion. Cela signifie que les marchandises qui ont été mises sur le marché dans l'UE ou l'EEE avec l'accord des titulaires des droits peuvent ensuite être commercialisées librement dans cette région. Le droit de distribution du fabricant s'est "épuisé" après la première vente et la revente des licences logicielles est légale.
- Seules les licences logicielles achetées peuvent être transférées. Les logiciels issus de contrats de leasing ou de location en cours ne peuvent pas être revendus.
- Les licences logicielles issues de contrats en volume peuvent également être vendues partiellement. Les licences d'un contrat en volume ont chacune un droit d'utilisation indépendant qui peut également être transféré tel quel. On peut donc conserver une partie des licences logicielles du contrat en volume et en vendre une autre. La seule exception à cette règle concerne les installations client-serveur.
- Particulièrement important : désinstaller le logiciel avant la vente. Comme il est bien entendu interdit de réutiliser soi-même les licences logicielles à vendre, les logiciels doivent être désinstallés des ordinateurs concernés avant la vente. En outre, une confirmation contraignante accompagnée d'une documentation atteste que les licences logicielles ne seront plus utilisées.
Conclusion de PREO : Les licences logicielles inutilisées sont une option intéressante pour augmenter le budget informatique existant. En tant que pionnier du commerce européen de licences logicielles d'occasion, nous sommes à votre disposition en tant que vendeur ou partenaire d'achat expérimenté. Nos experts en licences* se feront un plaisir de vous conseiller personnellement sur les thèmes de l'optimisation des coûts, de la sécurité et de la transparence dans le commerce des licences logicielles d'occasion.
Atruvia génère des revenus importants en vendant des licences de logiciels non utilisées.
Avec la Fusion de Fiducia et GAD 2015, deux grands volumes de contrats de licences Microsoft, en partie différents, ont dû être successivement fusionnés en un contrat commun au sein du réseau financier coopératif des Volks- und Raiffeisenbanken. Le regroupement décisif et donc l'uniformisation des actifs logiciels ont eu lieu avec le passage des licences d'achat aux licences de location dans le cadre de l'introduction du service en ligne M365 de Microsoft. Les licences logicielles ainsi devenues inutiles représentaient un potentiel de vente considérable. Dans ce cas client, vous découvrirez comment Atruvia a pu transférer à PREO, début 2020, plus de 150.000 licences Microsoft pour un montant à sept chiffres, après des mois de recherche et l'établissement d'un historique complexe des contrats et de l'utilisation, avec un conseil intensif en matière de licences et un soutien au projet.
En tant que partenaire de numérisation du groupe financier coopératif, Atruvia, qui compte environ 8400 collaborateurs* dans l'ensemble du groupe, est responsable de l'informatique de près de 900 banques populaires et banques Raiffeisen, y compris 86 millions de comptes clients, ainsi que des services informatiques pour les banques privées et les entreprises comme l'ADAC.
Votre sécurité en plus lors de l'achat de licences logicielles d'occasion
Les licences logicielles d'occasion de PREO sont jusqu'à 70 % moins chères que les produits neufs comparables et sont 100 % sûres en termes d'audit. Pour ce faire, les experts en licences* de PREO, en collaboration avec le service juridique spécialisé dans le droit des licences, examinent au préalable toutes les licences logicielles sous toutes les coutures.
En tant que client PREO, vous recevez des preuves détaillées et complètes de la chaîne des droits. Ainsi, vous pouvez à tout moment comprendre de manière transparente
- de quel type de contrat provient le logiciel
- quels numéros de contrat sont attribués,
- qui étaient les anciens propriétaires et
- s'ils ont correctement désinstallé le logiciel.
À cela s'ajoutent tous les détails de l'historique des mises à jour. Et si cela ne vous suffit pas en termes de sécurité : nos transferts sont couverts par une assurance responsabilité civile étendue pour les dommages pécuniaires jusqu'à un montant de 10 millions d'euros. Dans les moyennes et grandes entreprises, les responsables informatiques sont donc de plus en plus nombreux à utiliser les logiciels d'occasion de PREO afin de gérer leurs budgets de la manière la plus efficace et la plus sûre possible et de dégager une marge de manœuvre pour de nouveaux projets.
