Comment ne pas gaspiller un centime de votre budget logiciel

Les directeurs informatiques, directeurs de la stratégie numérique (CDO) et gestionnaires de licences logicielles sont en charge des architectures informatiques et paysages logiciels complexes, pour lesquels il n'est plus seulement question de haute disponibilité et de maintenance efficace.

Au contraire, la perspective de développement des fonctions informatiques d'une entreprise prend de plus en plus d'importance. De l'infrastructure à l'intégration d'un grand nombre de questions logicielles, tellement d'aspects sont liés que l'optimisation des coûts s'avère aussi bien décisive que difficile.

Pour dégager une marge de manœuvre pour de nouvelles mesures, vous ne devez donc pas utiliser n'importe comment le budget alloué, mais améliorer la structure de vos dépenses. Car vous ne devez ni gaspiller un centime, ni dépenser inutilement votre budget logiciel

Le dernier trimestre est idéal pour contrôler le budget, planifier et vérifier les stocks de licences

De nombreux contrôleurs répriment la recherche d'économies. Les économies réalisées en un an conduisent à une réduction du budget l'année suivante. Au début du dernier trimestre, les gestionnaires de licences devraient donc vérifier d'urgence les stocks de licences pour ne pas « gaspiller » les fonds budgétaires restants, mais les utiliser vraiment intelligemment. En effet, les licences logicielles qui ne sont pas nécessaires ou beaucoup trop chères sont au final de l'argent gaspillé.

En examinant le stock de licences de l'entreprise, de nombreuses questions peuvent conduire à des optimisations notables telles que :

• Avons-nous toutes les licences dont nous avons besoin ?
• Stockons-nous des licences dont le support externe a expiré (par ex. Office 2007, Exchange, Visio) ?
• Est-ce que notre inventaire de licences réussirait un audit ?
• Pourrions-nous remplacer les acquisitions à venir par l'achat de licences de logiciels d'occasion ?
• Avons-nous des licences en surnombre que nous devrions vendre ?

Conseil : Intégrer des licences de logiciels d'occasion de manière stratégique

Si la vérification révèle un manque de licences, il vaut souvent mieux investir le budget restant dans des logiciels d'occasion. Parce qu'ils sont jusqu'à 50 % moins chers que les logiciels neufs pour les mêmes fonctionnalités.

En plus, vous n'avez pas de dépenses courantes mensuelles d'utilisation du logiciel lorsque vous achetez des logiciels d'occasion. Vous économiserez donc encore de l'argent l'année prochaine.

Augmenter le budget en vendant les licences inutilisées - attention à ces 4 exigences

Se défaire d'acquisitions est un moyen d'optimiser le budget informatique. Un autre encore : reconvertir en argent les acquisitions précédentes. Cela vaut non seulement pour le matériel, notamment les ordinateurs portables ou les imprimantes de service, mais aussi pour les logiciels standard. Faites juste attention à ces 4 exigences fondamentales :

1. Les licences dont vous n'avez plus besoin ont été mises initialement sur le marché dans l'UE ou l'EEE
   Dans l'UE, le principe de l'épuisement s'applique aux logiciels d'occasion. Cela signifie que les marchandises qui ont été mises sur le marché dans l'UE ou l'EEE avec le consentement du titulaire du droit peuvent ensuite être commercialisées librement dans cette région. Le droit de distribution du fabricant a été « épuisé » après la vente initiale et la revente du logiciel est légale.
2. Seuls les logiciels achetés peuvent être transférés
   Une chose est claire : vous ne pouvez pas revendre les logiciels issus de contrats de leasing ou de location en cours.
3. Une partie des licences acquises dans le cadre d'un contrat en volume peuvent également être vendues
   Ce point est également clarifié sur le plan juridique. Les licences acquises dans le cadre d'un contrat en volume sont des droits d'utilisation indépendants qui peuvent être transférés de manière autonome. Vous pouvez donc conserver une partie des licences et en vendre une autre. Les installations client-serveur forment une exception.
4. Vous rendez les licences inutilisables avant la vente
   Le vendeur n'a bien sûr plus le droit d'utiliser les licences mises en vente. Il doit désinstaller le logiciel de ses ordinateurs avant de le vendre et confirmer qu'il n'en utilise plus les licences avec effet obligatoire.
   Les licences logicielles inutilisées sont un excellent moyen d'augmenter un budget informatique. Nous sommes aux côtés des entreprises depuis 2005 en tant que partenaire d'achat expérimenté et nous vous proposons une offre rapide et efficace pour vos licences logicielles inutilisées.

Sécurité lors de l'achat de logiciels d'occasion : le gros plus

Nos licences d'occasion sont non seulement bon marché, mais elles sont également sûres. Les licences commercialisées par PREO ont été préalablement examinées sous toutes leurs coutures par notre service juridique. Elles passent ensuite tous les audits logiciels. C'est notre triple sécurité d'audit.

Un point crucial est ici : les clients PREO obtiennent des informations détaillées sur la chaîne des droits. Lors de nos transferts, ces informations comprennent les preuves

1. du type de contrat de licence d'où provient le logiciel (y compris les numéros de contrat),
2. de l'identité des anciens propriétaires,
3. et de la désinstallation du logiciel en bonne et due forme

Les détails de l'historique des mises à jour sont également transmis. Et si cela ne vous suffit pas en termes de sécurité : nos transferts sont également assurés contre les erreurs de transfert. L'assurance couvre les éventuelles pertes financières jusqu'à un montant de 10 millions d'euros.

Dans les grandes entreprises aussi, de plus en plus de responsables informatiques utilisent les logiciels d'occasion pour optimiser le budget de l'environnement logiciel et ne pas gaspiller un centime.

Voulez-vous optimiser vos coûts logiciels?

Si vous avez des questions sur l'optimisation que vous pouvez faire de vos coûts logiciels, nos experts en matière de licences se feront un plaisir de vous aider gratuitement et sans engagement.

Téléphone : +33 1 730 437 59